Gérard DUBOIS

Je me souviens d’un jour où j’étais partie faire du vélo avec papy. Il faisait beau, on riait, on roulait sans vraiment de but, juste pour le plaisir d’être ensemble. Têtu comme toujours, papy avait décidé de désobéir à mamie qui lui avait bien dit de ne surtout pas aller traîner du côté de cette ferme où il y avait des chiens. Mais évidemment, il n’a rien voulu entendre.

On s’est arrêtés là-bas, comme si de rien n’était, pour boire un coup avec le propriétaire, comme il disait. Il connaissait tout le monde, papy, et il aimait ces petits moments simples. On a rigolé, partagé une limonade, et profité du moment.

Mais en rentrant… je ne sais pas comment mamie a su, mais elle l’attendait de pied ferme. Elle l’a engueulé comme il faut. Et là, au lieu de s’excuser, papy m’a lancé un regard complice, avec son petit sourire farceur, celui que je n’oublierai jamais. Puis il a fait une grimace dans le dos de mamie, comme un gamin pris en flagrant délit mais fier de sa bêtise.

Ce jour-là, j’ai compris encore un peu plus qui il était : malicieux, libre mais surtout plein de vie. Et ce souvenir restera pour toujours gravé dans mon cœur…

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Gérard DUBOIS. Nous présentons à son épouse, ses enfants et petits-enfants, nos plus sincères condoléances. Lucie, Renaud, Jeanne et Héloïse, nous tenons à vous témoigner toute notre affection. Pour honorer sa mémoire et soutenir la recherche contre la maladie de Parkinson qui l'a affecté, nous avons fait un don à l'association France Parkinson.
France, Benoît, Hugo et Clément Heller

Quand je mourrai, donne ce qui reste de moi aux enfants et aux vieillards qui attendent de mourir.

Et si tu as besoin de pleurer, pleure pour ton frère qui marche dans la rue à côté de toi.

Et quand tu as besoin de moi, mets tes bras autour de n'importe qui et donne-leur ce que tu as besoin de me donner.

Je veux te laisser quelque chose, quelque chose de mieux que des mots ou des sons.

Cherchez-moi parmi les personnes que j'ai connues ou aimées, et si tu ne peux pas me trahir, laisse-moi au moins vivre dans tes yeux et non dans ton esprit.

Tu peux m'aimer le plus en laissant les mains se toucher, et en laissant partir les enfants qui ont besoin d'être libres.

L'amour ne meurt pas, les gens le font.

Alors, quand tout ce qui me reste c'est l'amour, donne-moi.

Merrit Malloy



Je t'aime Papy❤️

C'est avec une grande tristesse pour toute votre famille que nous avons appris le décès de votre Mari, Père, Grand-Père et arrière Grand Père.
En ces moments douloureux pour vous tous, sachez que nous prenons part à votre chagrin.
Ne pouvant être présents aujourd'hui, nous serons avec vous par la pensée.
De tout cœur avec vous, recevez nos sincères condoléances.
Brigitte et Thierry Girardin, Amis de Sylvie.

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